" On voit onduler sur la large nappe du canal les formes posées ou blanchâtres des palais endormis dans la fraîcheur et le silence de l'aube ; on oublie tout, son métier, ses projets, soi-même ; on regarde, on cueille, on savoure, comme si tout d'un coup, affranchi de la vie, aérien, on planait au-dessus des choses, dans la lumière et dans l'azur. "
Hippolyte Adolphe Taine,Venise : Récits de voyage, 1864
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